Octomore Masterclass 8.3 Islay Barley 70cl 61.2°

Archive Octomore Masterclass 8.3 Islay Barley 70cl 61.2°
Distillerie : Bruichladdich / Pays : Ecosse / Référence : 23317

Le Single Malt Octomore Masterclass 8.3 Islay Barley marque une nouvelle fois l'expertise de la distillerie pour imaginer des whiskies tourbés extraordinaires. Cette nouvelle version 2018, produite avec de l'orge 100% écossais et de l’eau de source d’Islay, est en effet le whisky le plus tourbé au monde avec 309 ppm.

Cette nouvelle édition limitée dont chaque bouteille est numérotée a profité d'une maturation de 5 ans dans d'anciens fûts ayant contenu du Bourbon pour 56% du whisky, mais également d'anciens fûts de vin : Pauillac, Ventoux, Rhône et Bourgogne.

Ce Single Malt a été distillé en 2011 à partir d’orge récoltée en 2010. Masterclass 8.3 Islay Barley n’a connu aucune filtration à froid, ni coloration. Cette édition a été bouteillé chez Bruichladdich, par Adam Hanett (maître distilleur).

Cette édition possède un équilibre impressionant entre la tourbe tourbillonnante et des notes riches, fruitées et chocolatées.

*PPM - parties par million - de composés phénoliques, mesurent l’impact de la fumée huileuse de la tourbe qui se dépose sur l’orge germée pendant son séchage. Plus ce temps est long et plus la valeur des ppm est conséquente. Un whisky Islay déjà bien tourbé se situe aux alentours de 40-50ppm. Mais n’oublions jamais les particularités de chaque distillerie pour ce qui est du ressenti en bouche du whisky.

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Caractéristiques
Volume0.7 L
Degré61.2 °
TypeSingle Malt
DistillerieBruichladdich
PaysEcosse
RégionIslay
Âge5 ans
VieillissementBourbon & Vin
TourbeTrès tourbé
SpécificitésBrut de fût et non filtré à froid
PackagingEtui
Référence23317

Les whiskies tourbés d'Islay affichent généralement entre 30 et 45 ppm*, le premier Octomore, le 1.1 sorti en 2007, mesurait la tourbe à 131 ppm. La dernière version en date, la 6.3, est à 258 ppm…


Jim McEwan de la distillerie Bruichladdich raconte la philosophie avec laquelle la distillerie a élaboré les whiskies Port-Charlotte et Octomore : "Quand j’ai demandé à Bairds, notre malterie d’Inverness, de nous tourber l’orge à l’extrême, c’était par curiosité. Pour voir. J’avais en tête le goût du saumon fumé à froid, très, très lentement. Et je voulais appliquer cela au whisky. L’orge a mis cinq jours à sécher… Par la suite, je n’ai jamais demandé à pousser le niveau de tourbe, cela s’est fait comme ça. C’est comme les vagues sur la mer, vous ne voyez pas toujours arriver les plus grosses."


Fait rare en Ecosse, la distillerie Bruichladdich (prononcer « bruk-ladie ») utilise une cuve de brassage à ciel ouvert. Ses alambics en forme d'oignon ont une base très plate et un corps élancé. Lors de la distillation, les vapeurs d’alcool montent très lentement, conférant au whisky élégance et finesse.


Au fil des éditions, Octomore déploie toujours plus de profondeur d'arômes sous les notes tourbées. Donald MacKenzie qui gère Octomore pour le compte de la maison Dugas en France, estime que " Octomore est un whisky technique, un défi, très tourbé, gras et puissant, et pourtant très fin. Il est rare. Excessif. Exceptionnel."


Les versions d'Octomore sont répertoriées par deux chiffres séparés d’un point, dont le premier indique le batch (cuvée), 6 à ce jour. Le 1 en second chiffre est une référence à la maturation du whisky pour 100% en fûts de bourbon. Le 2 est un assemblage de plusieurs types de fûts. Le chiffre 3 apparu en 2014 sur l'édition Octomore 6.3 signale l’utilisation d’une orge d’Islay.


*PPM - parties par million - de composés phénoliques, mesurent l’impact de la fumée huileuse de la tourbe qui se dépose sur l’orge germée pendant son séchage. Plus ce temps est long et plus la valeur des ppm est conséquente. Un whisky Islay déjà bien tourbé se situe aux alentours de 40-50ppm. Mais n’oublions jamais les particularités de chaque distillerie pour ce qui est du ressenti en bouche du whisky.

Couleur : dorée, orangée.

Nez : exceptionnel. Il est fumé et tourbé, avec des notes de bois de chêne, sirop d’érable et une touche iodée. L'ensemble est fleuri avec des arômes de cerise, pêche et mangue.

Bouche : l'équilibre est impressionant entre la puissance de la tourbe, jamais étouffante, avec son caractère fruité (pêche et cerise), ses touches iodées et chocolatées.

Finale : complexe, elle s'éternise sur le sucre brun et la crème brulée. L’orange, la prune et le kiwi relèvent les notes maltées d'orge et de café torréfié.



Ce que les clients en pensent